Certains leaders politiques en attente d'être appelés pour une campagne de "touloutage"(bombance) sur le dos du peuple perdent patience et en veulent au cerveau de la révolution Malienne contre le néocolonialisme, Choguel Kokalla Maiga.
Les
"pipoles" (politiciens populistes) n'arrivent toujours pas à admettre
qu'une révolution est un combat de longue haleine.
Ils
veulent transformer notre combat en un tournage de film où les acteurs mémorisent
les scénarios et jouent les rôles sous le regard du réalisateur.
Il
est important que le cinéaste revienne sur les rails. Nous sommes sur un champ
de bataille contre les impérialistes.
Le
Mali est le centre de commandement de la bataille anti-impérialisme. Un adage
de chez nous dit qu'il ne faut pas saisir la queue du lion et demander à
quelqu'un d'autre d'écraser sa tête.
Les
acteurs de cette transition ont intérêt à finir ce travail en équipe pour
sortir non pas seulement Victorieux mais aussi Vivant d'où ce terme que je
préfère: "ViVe la Transition", que les acteurs soient Victorieux et
Vivants!
Tous
les regards sont tournés vers le Mali qui est en ce moment la tête de proue de
cette bataille contre les néocolonialistes. Retenons que fuir c'est se livrer
aux ennemis.
Choguel
Kokalla Maiga a déclenché ce combat au siège même de l'impérialisme qui est
l'ONU, il en est le disjoncteur. S'il tombe, c'est le sauve qui peut.
Tourner
vos films dans la rue, mais le premier ministre est en ce moment "Choguel
National". J'espère bien que les cinq colonels sont conscients de cette
réalité.
Djibril Elhassane TRAORE
Guerrier solitaire
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