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samedi 24 septembre 2016

Insécurité au Mali: Le cercle de Ké-Macina ménacé par des hommes de Amadou Koufa


La mosquée de Touara

#Insécurité, les djihadistes ont menacé Touara mon village natal. Situé à 15 km de Ké- Macina à l'est sur la rive droite en allant à Diafarabé.

Le dimanche 18 septembre 2016 au petit matin, les motards armés ont envahi la mosquée.
"Nous sommes venu en paix, nous irons en paix sauf si vous informez les autorités. Dans ce cas, nous "reviendrons". Disent-ils.

Ils ont passé la journée à prêcher dans la mosquée.

Certains ont tout de même appelé la gendarmerie de Macina. Au lieu de prendre des dispositions nécessaires, les gendarmes rappelaient les villageois pour savoir si les bandits sont parti ou pas.
l'Ecole Fondamentale de Touara
 
Ils ont passé la journée au village, le lendemain lundi 19 septembre 2016 ils sont parti à Souley, un autre village situé à 10 km de Touara.
 
C'est ainsi que les djihadistes de Koufa sont entrain de cultiver la haine contre les autorités absentes et incompétentes.

Djibril TRAORE

dimanche 5 juin 2016

The power of words, lors de la ceremony de lancement officiel de Bamako English Toastmasters Club (BETC)

The power of words, un discours présenté par Djibril El Hassane TRAORE lors de la ceremonie de lancement officiel de Bamako English Toastmasters Club (BETC) le 07 Mai 2016 à l'Hotel Salam .

Toutes mes excuses pour la qualité de la vidéo.

samedi 5 mars 2016

La ville de Macina attaquée par des bandits armés


Deux hommes armés ont semé la panique à Macina le jeudi 03 Mars 2016 vers 15 heures.

Les autorités étaient déjà informées de la menace deux jours auparavant.

Malgré cela, aucune mesure n'a été prise, au contraire les gendarmes ont tout simplement pris la tangente et ABANDONNÉ les véhicules derrière eux.

Les bandits armés ont brûlé les véhicules au poste et ont tiré en air dans les rues de Macina tout en chantant à qui veut l'entendre "allahou akbar" comme pour lancer un défi à la population. 

Personne n'a pu relever leur défi, ni les chasseurs, ni les gendarmes. "Il n'y avait personne", regrette Issa. Selon lui "il suffisait d'un peu d'audace pour éliminer ces deux bandits. Que faire, en tant que civiles désarmés?"

A quoi sert de porter galamment la tenue militaire si on ne peut pas l'honorer avec dignité?
Fuir ses responsabilités, c'est MOURIR; Celui ou celle qui ne peut pas honorer le drapeau national doit être au moins déshabillé. 

Djibril Traoré, ressortissant de Macina