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jeudi 16 mars 2023

Carte Biométrique: Trop de tracasseries et pertes de temps pour une mise à jour

 Les autorités de la transition savent-ils que l’organisation de la campagne de mise à jour de la carte biométrique laisse à désirer.

Le déroulement des opérations n’est pas à la hauteur des attentes de la population.

La mauvaise organisation de ce travail précieux est caractérisée par l'insuffisance de machines, de personnels formés, etc.

Pourquoi ne peut-on pas le faire dans toutes les mairies ou même chez les chefs de quartiers ou village.

L’essentiel est la disponibilité du personnel formé et des machines comme c’était le cas lors du recensement des habitats.

En plus de cela, le délai est très court, fin mars 2023. Pour quelle raison ???

Pourtant, nous avons vu comment s'est déroulé la campagne de recensement des habitats, NINACAD.

Le personnel se déplaçait même dans les quartiers avec leurs machines à zéro francs. Pourquoi ne pas faire pareil?

Une simple mise à jour de "carte d'identité nationale" ne doit pas être un "parcourt de combattant", on dirait une recherche de visa d'entrée en Europe.

Que se passe-t-il au juste?

Djibril El Hassane TRAORE


Politique nationale: Les autorités de la transition à l'œuvre pour un Mali Unis et Fort.

Les efforts que cette transition est entrain de fournir pour rendre la liberté et la fierté aux Maliens sont immenses et palpables. Seul un égoïste opportuniste ne peut pas le reconnaitre.

Ceux qui ne le savent pas doivent se renseigner ou se taire au lieu de semer le doute chez d'autres personnes.

Bientôt le Mali sera la première puissance militaire en Afrique de l'ouest.

Pendant ce temps, d'autres crient à la vie chère, ils ne voient que la cherté du sel, du sucre, de la pomme de terre... en langue bamanankan on dit « popapo kan » ou foutaises.

La Liberté d’expression ne doit pas être un bâton dans les roues du « train qui est en marche » pour un Mali souverain et digne.

Honte aux opportunistes à « mille langues » qui ne se soucient que de leurs ventres au moment où le monde entier observe nos autorités.

Aucun Malien ne doit oublier que nos autorités ont lancé des défis qu’elles doivent relever à tout prix avant toute passation de pouvoir aux civils.

Les obstacles politiques, géographiques et administratifs doivent être écartés avant la prise de pouvoir du futur président élu. Le moment est donc mal choisi pour « aboyer ».

Dites aux autorités de la transition de faire taire les brebis galeuses avant qu'ils ne forment un troupeau pour gangrener la ferme.

Djibril El Hassane TRAORE