Confisquer en politique est un acte qui relève de l’égocentrisme et la preuve irréfutable de l’absence de l’estime de soi.
Ce n’est pas une honte de se parler entre malien ou africain et de se dire toutes les vérités. Ce n’est pas une honte de dépoussiérer nos pages d’histoire et de faire jaillir la lumière pour guider nos enfants sur le chemin de la patrie. Ce n’est une honte de demander pardon et présenter ses excuses pour les actes criminels commis contre le peuple et la patrie.
Ce n’est pas une honte de restituer les biens du peuple qui ne sont pas les vôtres et revenir sur le chemin de l’honnêteté. Ce n’est pas une honte de renoncer à la confiscation de la souveraineté de notre peuple et de respecter sa voix et son choix pour un pays libre et indépendante.
Ce n’est pas une honte de reconnaître ses faiblesses et ses erreurs et laisser la gestion du pays et le pouvoir aux compétences nationales capables de remettre notre Mali (Afrique) sur les rails du développement pour construire un état moderne. Ce n’est pas une honte d’écouter notre jeunesse et lui donner la chance de prouver ses capacités, de relever les défis et de faire face aux enjeux du siècle présent.
Ce n’est pas une honte de laisser le pouvoir aux enfants de la nation et de quitter avec les honneurs pour aller écrire (si vous avez des choses à dire) pour enrichir les pages de notre histoire. Ce n’est pas une honte de gagner le pouvoir et non de le voler au peuple par des élections farcies au trucage et à la tricherie.
« Par Contre »
La honte est de vivre dans le péché du mensonge. La honte est de construire sa vie et faire nourrir ses enfants avec de l’argent de la corruption. La honte est de voir le peuple du haut de votre perchoir à l’image de Maitre corbeau, sur un arbre perché. La honte est de voir avec jouissance le monde extérieur qui vous glorifie, un monde qui rit de vous et qui vous réduit à l’état de sous-développement intellectuel.
La honte est de ne pas avoir honte.
Pour toutes ses raisons plausibles, le respect de la volonté populaire demeure inconditionnel pour construire un Mali, ou une Afrique de lumière qui fera la fierté de nos enfants. Notre devoir est de rejoindre le parcours de la démocratie pour mettre fin à la politique du clanisme, de béni-amis, du régionalisme et de charlatanisme.
L’unité du peuple et son engagement à édifier un pays de droits et devoirs peut être encore possible par une volonté politique des forces supérieures animées par l’amour de la patrie et l’attachement nationaliste et indéfectible aux valeurs de Juillet-Août et de la république a organiser des élections propres et intègres. Il est encore temps et possible de retrouver la paix civile, la coexistence pacifique entre toutes les parties de la société civile, le partage du travail et les richesses nationales, le respect de la loi et l’amour de la patrie.
Les présidentielles 2013 reste un indicateur de volonté politique entre les mains de ceux qui décident pour l’Algérie de nos enfants et des générations a venir. A cet effet, le choix d’un homme doit exprimer la volonté du peuple. Le peuple doit être maitre de son destin et de sa patrie. Le peuple ne doit pas être sous la tutelle d’un homme, d’un clan ou d’une confrérie. Le peuple doit être souverain pour construire un pays souverain avec un projet politique et un état souverain.
L’Etat souverain n’est pas redevable de son statut aux forces extérieures. Le président du peuple possède toute la créditation pour engager le pays dans la direction de son projet pour son épanouissement économique et social. Il est temps de finir avec le sérail de la recommandation, de la tutelle, de la négation et de règlement de comptes.
Le peuple est majeur et responsable, a droit à une vie décente et à la paix. Sa jeunesse possède toutes les énergies possibles pour conquérir le monde du savoir, de la science, de la technologie, de la politique et des affaires. Cette richesse inestimable à besoin d’être valorisé, écouté et respecté par les dirigeants du pays.
Source: http://www.baobab-news.com/spip.php?article504
Samedi 10 août 2013, par .
Ce n’est pas une honte de se parler entre malien ou africain et de se dire toutes les vérités. Ce n’est pas une honte de dépoussiérer nos pages d’histoire et de faire jaillir la lumière pour guider nos enfants sur le chemin de la patrie. Ce n’est une honte de demander pardon et présenter ses excuses pour les actes criminels commis contre le peuple et la patrie.
Ce n’est pas une honte de restituer les biens du peuple qui ne sont pas les vôtres et revenir sur le chemin de l’honnêteté. Ce n’est pas une honte de renoncer à la confiscation de la souveraineté de notre peuple et de respecter sa voix et son choix pour un pays libre et indépendante.
Ce n’est pas une honte de reconnaître ses faiblesses et ses erreurs et laisser la gestion du pays et le pouvoir aux compétences nationales capables de remettre notre Mali (Afrique) sur les rails du développement pour construire un état moderne. Ce n’est pas une honte d’écouter notre jeunesse et lui donner la chance de prouver ses capacités, de relever les défis et de faire face aux enjeux du siècle présent.
Ce n’est pas une honte de laisser le pouvoir aux enfants de la nation et de quitter avec les honneurs pour aller écrire (si vous avez des choses à dire) pour enrichir les pages de notre histoire. Ce n’est pas une honte de gagner le pouvoir et non de le voler au peuple par des élections farcies au trucage et à la tricherie.
« Par Contre »
La honte est de vivre dans le péché du mensonge. La honte est de construire sa vie et faire nourrir ses enfants avec de l’argent de la corruption. La honte est de voir le peuple du haut de votre perchoir à l’image de Maitre corbeau, sur un arbre perché. La honte est de voir avec jouissance le monde extérieur qui vous glorifie, un monde qui rit de vous et qui vous réduit à l’état de sous-développement intellectuel.
La honte est de ne pas avoir honte.
Pour toutes ses raisons plausibles, le respect de la volonté populaire demeure inconditionnel pour construire un Mali, ou une Afrique de lumière qui fera la fierté de nos enfants. Notre devoir est de rejoindre le parcours de la démocratie pour mettre fin à la politique du clanisme, de béni-amis, du régionalisme et de charlatanisme.
L’unité du peuple et son engagement à édifier un pays de droits et devoirs peut être encore possible par une volonté politique des forces supérieures animées par l’amour de la patrie et l’attachement nationaliste et indéfectible aux valeurs de Juillet-Août et de la république a organiser des élections propres et intègres. Il est encore temps et possible de retrouver la paix civile, la coexistence pacifique entre toutes les parties de la société civile, le partage du travail et les richesses nationales, le respect de la loi et l’amour de la patrie.
Les présidentielles 2013 reste un indicateur de volonté politique entre les mains de ceux qui décident pour l’Algérie de nos enfants et des générations a venir. A cet effet, le choix d’un homme doit exprimer la volonté du peuple. Le peuple doit être maitre de son destin et de sa patrie. Le peuple ne doit pas être sous la tutelle d’un homme, d’un clan ou d’une confrérie. Le peuple doit être souverain pour construire un pays souverain avec un projet politique et un état souverain.
L’Etat souverain n’est pas redevable de son statut aux forces extérieures. Le président du peuple possède toute la créditation pour engager le pays dans la direction de son projet pour son épanouissement économique et social. Il est temps de finir avec le sérail de la recommandation, de la tutelle, de la négation et de règlement de comptes.
Le peuple est majeur et responsable, a droit à une vie décente et à la paix. Sa jeunesse possède toutes les énergies possibles pour conquérir le monde du savoir, de la science, de la technologie, de la politique et des affaires. Cette richesse inestimable à besoin d’être valorisé, écouté et respecté par les dirigeants du pays.
Source: http://www.baobab-news.com/spip.php?article504
Samedi 10 août 2013, par .
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