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mardi 7 octobre 2025

Sécurité au Mali : Le peuple attend des actions fortes pour protéger son honneur.

FAMA defilé du 22 septembre 2025

Le Mali est en guerre contre le terrorisme. Les terroristes, ceux qui les soutiennent et ceux qui font leurs communications sont tous des Maliens. Une guerre compliquée ! 

Les terroristes sont des bandits armés. Ils sont dévoués à leurs causes. Ils sont bien payés et bien armés. Ils pensent qu'ils iront au paradis après leur mort. 

Il y a plusieurs batailles dans cette guerre, comme celle sur les hydrocarbures. Pour le moment, ils réussissent à rendre difficile l'importation de carburant. Si cela continue, même ceux qui brûlent des citernes ne pourront pas bouger. Cette stratégie est un piège qui se referme sur eux-memes! Ils sont stupides, tant mieux ! 

Il n'y aura pas de vainqueur dans cette bataille sur les hydrocarbures, c'est sûr. C'est surtout un échec pour les terroristes qui circulent en motos et qui n'ont pas d'autres moyens de conserver leur carburant que des bidons de 20 litres. 

Cette fois-ci, les terroristes ont raté leur cible. Il est clair que l'Armée Malienne n'a pas encore déployer les grands moyens pour changer la donne. Faut-il brûler la case pour se débarrasser des cafards? 

Par exemple, les autorités peuvent créer des groupes armés pour assurer l’auto-défense de la population civile dans les zones où les forces de l’ordre ne sont pas présent permanemment.

Cela est une des solutions envisageables car au Mali, la population connaît les terroristes et sait où ils se cachent. Elle n'a juste pas les moyens logistiques pour les aneantir afin de cultiver les champs en sécurité. 

Les volontaires, les bras valides ne manquent pas au Mali, les hommes attendent que les autorités réagissent à leur faveur.

Le peuple malien veut se libérer de toute forme de domination (culturelle, religieuse, politique, etc.) et ne veut pas de dialogue avec les terroristes. Le terrorisme n'a pas d'avenir au Mali, la seule option pour les assaillants est d'abandonner les armes au risque d'être anéanti.

Djibril Elhassane TRAORE