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samedi 30 avril 2022

La part de vérité du Président Assimi Goita

Le président Goita a intérêt à réaffirmer publiquement son soutien total à son premier ministre pendant qu’il est encore temps

Il est grand temps que le président Assimi Goita sort de son silence pour réaffirmer publiquement, son soutien indéfectible à son premier ministre Choguel Kokalla Maiga. 

Le peuple Malien soucieux de la réussite de cette révolution et le premier ministre lui-même en ont tous besoin en ce moment crucial de la transition.

Certaines personnes membres du Conseil National de la Transition (CNT) doivent être mis sur les rails. Le premier ministre est un homme de confiance choisi par le président, s’il est « propriétaire du bateau », Choguel en est le capitaine.

Les membres du CNT ne sont pas des députés élus, ils ont tous été nommés par décret du président Assimi Goita. Il est donc bizarre et incompréhensible qu’une opposition se forme contre Choguel au sein de ce même organe.

Le premier ministre Maiga a longtemps encaissé des coups venant de l’intérieur comme de l’extérieur. Ces adversités nous rappellent le temps de Cheick Modibo Diarra quand il était premier ministre de la transition dirigée par le Capitaine Amadou Aya Sanogo.

Le 17 avril 2012, Cheick Modibo Diarra est nommé Premier ministre du Mali afin de mener un gouvernement d'union nationale de transition, rétablir l'intégrité du territoire malien, sortir le Mali des troubles insurrectionnels dans le Nord du pays et organiser des élections transparentes. Le 25 avril, il forme son gouvernement. Malheureusement, à la demande de son mentor Sanogo il démissionne le 11 décembre 2012 après avoir encaissé toutes sortes d’attaques verbales et de dénigrements.

Comment peut-on évaluer un gouvernement sous embargo? Le CNT est-il indispensable pour la réussite de cette transition?

En ce moment, on ne peut pas se réjouir des réalisations de l’Armée Malienne et condamner les actions du premier ministre. C’est une incompatibilité qui provoque la division.

Djibril Elhassane Traoré

Le Guerrier Solitaire

 


dimanche 10 avril 2022

La montée en puissance des FAMas: Je suis Assimi Goita!

Felicitations aux FAMas pour avoir neutralisé avec succès les bandits armés à Moura et dans les autres localités du Mali.

Le village de Moura ou la "capitale des bandits armés" a été nettoyé avec succès par nos vaillants soldats. Il reste beaucoup d'autres "Katiba" cachés au Mali à mettre hors d'état de nuire.

Après les bandits armés, les FAMas doivent aussi neutraliser les "faux frères" ou plutôt les "amis armés". Des groupuscules de personnes inutiles à éparpiller coûte que coûte.

A titre de rappel, des milliers de civils innocents ont été calciné par des bombardements de l'OTAN et les Américains en Iraq, en Libye, en Afghanistan. Personne n'a soufflé un mot.

Au Mali, des villages, des bus pleins de personnes âgés, des femmes et des enfants, des champs, des récoltes, des bétails, ont été calcinés par des bandits armés au vu et au su du Monde entier. Personne n'a condamné! Personne n'a parlé d'exactions!

La victoire de l'Armée Malienne aujourd'hui est la réponse du Seigneur aux larmes de lamentation de milliers d'orphelins et de veuves. Cette révolution ira jusqu'au bout du tunnel quelque soient les circonstances.

Djibril El Hassane TRAORE

Le guerrier solitaire


Un Mali sans bandits armés, sans "djihadistes"

 Rien n'arrêtera cette offensive anti banditisme au Mali.

Cette révolution anti impérialiste engagée par les cinq colonels n'est pas un rêve, c'est une offensive meurtrière pour exterminer le mal qui qu'il soit et où qu'il soit. Les défenseurs du mal ne finiront jamais de pleurer.

Les bandits armés appelés "djihadistes" seront exterminés. Un jour viendra ce sera juste un souvenir.

Si vous soutenez ces terroristes, sachez que le Mali ne sera jamais soumis à une force satanique.

Tant pis pour ceux qui se sont laissés manipuler par Iyad Aghali. Lui qui se sert juste des naïfs pour augmenter sa troupe. Son rêve n'est pas Dieu, loin de là il cherche un trône pour s'asseoir. Il cherche un état à diriger, ce ne sera pas notre Maliba de Kayes à Kidal.

Il n’y a pas de "djihad", il n’y a que du banditisme armé. S'il y a djihad, cela prendra fin au Mali.

La terreur ne fait que commencer. Il s'agit de terroriser le terroriste jusqu'à assainir le territoire Malien.

Les médias occidentaux soutiennent leurs gouvernements, ainsi soit il, nous soutiendrons également notre gouvernement jusqu'au bout.

Djibril El Hassane TRAORE

Le guerrier solitaire

La riposte des FAMas contre les terroristes

La peur a changé de camps et les FAMas font face aux lamentations des parents des terroristes.

Les Forces Armées Maliennes ont si bien terrorisé les terroristes (djihadistes) à Moura que certains barbus ont renoncé au paradis et aux milles vierges qui leur avait été promis par Iyad Aghaly.

Par crainte d'être écrasé, ils se sont rasés et ont porté des djellabas pour se confondre aux femmes. Il faut au moins accepter de mourir avant d'aller au paradis.

C'est là où ils se rendent compte que leurs chefs, Iyad et Kouffa, ont menti sur les faramineuses récompenses après la mort.

Les chefs ne vont pas aux fronts et ne s'explosent pas pour aller vite rejoindre les vierges au paradis.

Pourtant, le paradis existe, mais le terrorisme ne mène qu'en enfer.

Après les "feux d'artifices" minutieusement préparés par les descendants des tirailleurs Maliens qui ont sauvé la France pendant la deuxième guerre Mondiale, les parents des terroristes encouragés par les forces du mal se plaignent d'exactions.

C'est comme si au Mali chaque parent décide d'aller libérer son fils criminel emprisonné en affrontant les forces de l'ordre et la justice.

Un adage de chez nous dit que "si tu donnes naissance à un serpent, attaches-le à ta propre ceinture, en cas de morsure tu seras la seule victime". Si tu abandonnes ton serpent de fils ou ton chien errant, sa tête sera écrasée par quelqu'un d'autre. Tu n'oses pas lever le petit doigt.

La communauté internationale a le devoir d'étudier minutieusement le cas du Mali. Les USA, l'OTAN et la France ont commis plusieurs exactions en Iraq, en Afghanistan, en Libye sans craindre les faux défenseurs des droits de l'homme ou l'amnistie internationale.

Les Maliens qui se déclarent neutres au moment où les soldats meurent au front ne doivent pas oublier que les chaînes Françaises telles que RFI, France24 violent plusieurs règles du journalisme pour défendre les autorités Françaises.

Ils mettent tout en œuvre pour soutenir leur autorité, c'est cela le patriotisme. En plus, en matière de communication, Emmanuel Macron et son équipe violent plusieurs règles pour accuser les autorités Maliennes à tort.

Devons-nous croiser les bras et enchaîner notre cerveau avec des règles bidon sans soutenir notre président haut et fort?

La jeunesse Africaine doit savoir que ceux qui nous enseignent le leadership, la communication, la démocratie et les droits de l'homme sont aussi les plus grands criminels du monde.

Cela ne les empêche pas de se partager le "prix Nobel de la paix".

Restez neutre, mais sachez qu'en tant de guerre, la neutralité d'un citoyen ne décrit que sa lâcheté, son hypocrisie ou sa trahison.

Djibril El Hassane TRAORE

Le Guerrier Solitaire

dimanche 3 avril 2022

Les propos rancuniers d’un ancien premier ministre et la réplique d'un "combattant solitaire" pour "Malikoura" (le nouveau Mali)

Quand un ancien premier ministre sous ATT et ministre des finances sous feu Moussa TRAORE (Paix à son âme) va jusqu’à dire publiquement et avec fierté que « le Mali n’avait pas gagné la guerre contre le Burkina Faso », cela s’appelle du délire.

Comment peut-on être rancunier jusqu’à vouloir chercher à se venger en manipulant l’histoire ? En plus, notre ancien premier ministre s’appuie sur le fait que le Président Moussa avait sanctionné son chef d’état-major juste après la guerre. Selon lui cela ne peut être que signe de défaite. Il le dit aujourd’hui plus de trente ans après les faits.

Est-ce difficile à comprendre que la discipline est à la base du succès d’une armée? Un militaire est sanctionné après une faute qu’il ne doit pas commettre. Surtout en temps de guerre, il y a des erreurs à sanctionner même après avoir remporter la victoire.

Le général Moussa TRAORE était un homme rigoureux, tout ceux qui ont travaillé avec lui le savent. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle il ne s’entendait pas bien avec cette nouvelle génération de politiciens qui étaient capable de remplacer le cheval par l’âne.

Notre ancien premier ministre s’expose publiquement aujourd’hui en oubliant que cette agitation politique ne fait que redonner raison à Moussa Traoré lors qu’il se débarrassait de certaines personnes qui jouissaient sous son ombre sans le mériter. Pour s’en rendre compte, il suffit juste d’analyser leurs états d’esprits de nos jours et au moment des faits.

Certains acteurs du mouvement « démoncratique » ne digèrent jamais leur chute. De toutes les façons, seule la voie empruntée par les autorités actuelles importe. Celle de la libération totale du Mali.

Les faits sont connus et les écrits restent. Nous allons tout simplement mettre ces vieux rancuniers sur les rails.

Qu’est ce qui a bien éclaté une guerre entre le Mali et le Burkina Faso ? Je vous invite à relire les archives.

Il s’agit de la bande d’Agacher, une zone frontalière litigieuse. Il y a eu un conflit en 1974 et un autre en 1985 qui a durée cinq jours de combats meurtriers.

Dans un article de Benjamin Roger sur le site de jeune Afrique (voir le lien Il y a trente ans éclatait la « guerre de Noël » entre le Mali et le Burkina Faso – Jeune Afrique) le Mali avait déployé sur le terrain le 25 décembre 1985, environ 150 chars et des Mig 21 bombardaient les deux principales villes du nord du Burkina, Djibo et Ouahigouya. 

L’armée malienne, dont la puissance de feu est supérieure, s’enfonce en territoire burkinabè. Son objectif est de prendre en tenailles la seconde ville du pays…

Le Mali était une puissance militaire avant 1991. Ce sont ces mêmes acteurs « démoncratiques» qui ont détruit cette armée en voulant se venger de Moussa Traoré.

Heureusement, de nos jours, l’espoir renait avec Assimi Goita et Choguel Kokala Maiga, le Mali regagne sa place d’antan de « gendarme de la sous régions », un terme qui existait avant 1991.

Djibril El Hassane TRAORE

Le guerrier solitaire

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