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mercredi 2 janvier 2019

Guerre fratricide au Mali, sentiment anti-peulhs. Que s'est-il passé?

J'en veux aux associations peulhs qui se disent amoureux de la culture peulh et organisent même des festivals pour magnifier la culture peulh.

Au moment où Amadou Kouffa, le terroriste, appelait les peulhs au djihad et à la réhabilitation du Macina, aucune de ces associations n'a rappelé Kouffa à l'ordre.

Ils ont gardé le silence coupable qui pèse lourd sur eux aujourd'hui. C'est dommage!!!

Mêmes les intellectuels peulhs qui crient au désarmement des donzos n'ont pas condamné les actes barbares du peulh Amadou Kouffa contre bambara, bozos, dogon.... Que cachaient-ils?

Réhabiliter la ville de hamdallaye plaisait à beaucoup de peulhs d'où ce silence. Soutenir Kouffa et son "djihad" est une fierté chez les peulhs. Chaque famille est représentée par au moins un élément. Certains vendent des boeufs pour le soutenir.

Les autres aussi ont longtemps souffert sous le feu de kouffa et ses acolytes. Ils ont crié en vain.

Les peulhs terroristes ont brûlés des récoltes, des champs, tuaient des troupeaux de bétail, violaient des femmes. Il y a eu toute sortes de massacres perpétrés par des peulhs djihadistes.

Aujourd'hui les donzos se sont organisés et ont décidé de se venger. C'est cela que les gens ne comprennent pas. Or, "la vengeance est un plat qui se mange froid".

Avant de mourir, Kouffa avait semé le vent, les adeptes peulhs sont entrain de récolter la tempête aujourd'hui.

Pour arrêter ce massacre il faut désarmer le mouvement d'Amadou Kouffa et Iyad ghaly au lieu de vociférer sur les légitime defenseurs donzos.

Djibril TRAORÉ