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mardi 29 janvier 2013

MNLA ET ANESARDINE SONT LES « JUMEAUX D’UNE MEME FEMME », LE TERRORISME ASSOCIE AU VIOLE COLLECTIF ET AU TRAFIC DE DROGUE.


 Personne ne saura faire la différence entre MNLA et ANESARDINE ; deux groupes de bandits armés qui ont envahis les trois grandes régions au nord du Mali à partir de Mars 2012. Ils ont les mêmes accoutrements, les mêmes méthodes de lutte (le viole des femmes surtout mariées ou mineures, le trafic de drogue, le massacre des innocents). L’un réclame l’indépendance du nord et l’autre veut faire du Mali un état Islamique (drôles d’idées, n’est ce pas)?

N’oublions pas que c’est après le coup d’état du 22 Mars 2012 que le MNLA a violé toute possibilité de négociation avec le gouvernement Malien. Ce dernier n’a jamais refusé le dialogue. Le MNLA s’est associé avec MUJAO, ANESARDINE, et AQMI pour occuper avec barbarie et ignorance les trois plus grandes régions du mali (Tombouctou, Gao et Kidal). Pourtant, avec les différents accords signés entre le Mali et les vagabonds armés, tout était possible autour de la Table. L’indépendance se négocie, on ne le force pas, l’état islamique aussi se négocie mais ne se force pas, car le Mali est un Etat laïc. On ne saurait changer cela du jour au lendemain sans aucune concertation. Avec l’aide de ses terroristes drogués, les éléments du MNLA se croyaient invincible. En quelques mois ils ont mis leur faux gouvernement en place qui disparait par la suite comme un feu follet. Selon M. COULIBALY: « Le linge était sale et pouvait être lavé en famille, mais avec les massacres sur la population civile malienne, le linge est déchiqueté et inutile à laver ».

Le MNLA a massacré des soldats Maliens désarmés à Aguel Hoc aux yeux du Monde entier. Aucun organisme de droit de l’homme n’a levé le petit doigt pour les dénoncer. Les photos des soldats égorgés circulent encore sur internet. A Ménaka, l’armée Malienne a subit la même humiliation, les femmes ont étés violées, leur époux qu’ils qualifient de chien furent égorgés devant leurs enfants. Quel traumatisme !!!! La femme de Bilali fut violée à Gao par les éléments du MNLA devant lui, depuis ce jour il ne parle plus.

 Je me rappel encore de cette femme qui a reçu l’appel de son fils : « Maman, il faut prier pour moi, je n’attends qu’une personne pour être égorger. Mon fils, répond la mère la gorge desséchée, tu as ma bénédiction, quoi qu’il arrive  reste homme, tu es là-bas pour défendre ton pays ». Après ces échanges de mots entre mère et fils ainé, on lui arrache le téléphone sans le décrocher afin que la maman puisse entendre son fils crier sous la douleur du couteau. Et après, on lui lance ces mots : « Alors, nous venons d’égorger ton chien,… bye ». N’oublions pas ces mains et pieds coupés au nom d’Allah, sans aucune preuve ; n’oublions pas aussi ce couple lapidé pour adultère. Voilà, l’image de MNLA aux yeux de ceux qui le connaissent, c'est-à-dire les Maliens. Souvenons-nous de Aicha, qui fut violée devant son mari et après ramenée devant Iyad Aghali pour être son épouse ; même les chiens n’agissent pas ainsi.

Comment faire la différence entre ces deux groupes ? Sauf si on oublie le jour où ils ont fait fusion à Alger pour combattre ensemble contre le Mali.
Selon la presse Algérienne, Ançar Eddine et le MNLA ont signé, à Alger, un accord de partenariat de sept points arrachés grâce à une médiation algérienne. Les deux parties, qui dénoncent toute intervention militaire étrangère au nord du Mali, se sont entendues pour cesser toute forme d’hostilité, sécuriser les zones qu’elles contrôlent et permettre la libération des otages et des captifs. Les deux organisations, représentées par Baye Ag Diknan (MNLA) et Mohamed Akhanit (Ançar Eddine), estiment dans l’accord qu’elles ont paraphé, hier en présence de la presse à Alger, être conscientes des «événements malheureux et tragiques qui par suite d’une gouvernance défaillante par le pouvoir central ont conduit à une partition de fait, troublé gravement la paix et la sécurité au Mali, compromis sa souveraineté et entravé ses efforts de développement», et de ce fait, «elles ont réitéré leur engagement au dialogue avec les autorités maliennes pour un règlement pacifique, durable et définitif du conflit». Un règlement qui, selon les deux mouvements, doit se faire dans le cadre «des principes islamiques en harmonie avec les valeurs authentiques du peuple de l’Azawad et dans le respect de toutes les libertés fondamentales sans distinction de race ou d’appartenance ethnique ainsi que des règles universelles pertinentes des droits de l’homme, gouvernance et de l’Etat de droit.

Quand à Cherif Ousmane HAIDARA, Dans une interview qu’il a accordée à RFI : « Un voleur reste un voleur, même s’il change d’habit. Quelque soit son look, il reste un voleur et doit être traité comme tel ». Il ajoute qu’il faut être dingue pour croire encore à la sincérité du Mouvement islamique de l’Azawad (MIA) appelant à une solution politique (c’est-à-dire la négociation) et s’engageant même à combattre ses anciens alliés.

Djibril Elhassane TRAORE

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